dimanche 23 mai 2010

Suite du lâcher prise


"L'art de lâcher-prise sur son égo ...

Qu'est-ce que l'égo ?

Sur le blog d'un chercheur en psychologie, j'ai trouvé cette définition qui me semble tout à fait intéressante :

Quand on vous insulte et que vous êtes blessés, c'est votre ego, Quand vous êtes jaloux, c'est votre ego,

Quand vous vous croyez le meilleur, c'est l'ego

Quand vous vous croyez un raté, c'est l'ego

Quand vous affirmez ne pas avoir d'ego, c'est votre ego,

L'ego c'est du trop ou du pas assez. Dans son enfance, soit on a trop été aimé et on veut durant toute sa vie que cela dure parce qu'on aime ca, ou alors, on en pas eu assez et maintenant on veut être aimé.

L'egoiste a une difficulté à rentrer en contact avec l'autre, c'est une angoisse, une peur. Qu'est-ce qui peut expliquer l'égoïsme ?

Les égoïstes sont dans un shéma de répétition. Freud a mis en evidence les schémas de répétition, si on revit des choses, c'est pour s'en libérer, mais on y parvient pas toujours, alors on continue à répéter ce schéma.

Du côté des hommes par exemple, le macho est très égoïste : en fait il est très angoissé, il reproduit un schéma pour gagner en assurance apparente. L'équivalent du macho en féminin est la possession maternelle. La maman possessive peut alors être très égoïste aussi, mais tout simplement car elle a peur que son enfant ne soit pas heureux, elle reproduit un shéma pour avoir la sensation de tout contrôler et ainsi de se rassurer elle-même.

Le macho restera macho tant qu'il n'aura pas gagner une réelle confiance en lui et en les autres, la mère possessive restera possessive tant qu'elle n'aura pas suffisamment une réelle confiance en elle et en autrui.

Comment lâcher prise sur son égo ?

La première évidence, c'est que rien n'est irrévocable ou irréversible !

Tout le monde peut se libérer d'une angoisse ou d'une peur, tout le monde peut gagner en confiance en soi et en confiance dans les autres, donc tout le monde est capable de lâcher prise sur son égo pour mieux profiter de la vie et s'épanouir !

Comment lâcher prise sur son égo donc ? En travaillant sur ces différents aspects.

Selon les personnes, nous avons tous évidemment un égo et cet égo est utile !

Maintenant, selon la place qu'il prend dans nos vies et dans quelles circonstances, le travail ne sera pas le même.

Une personne jalouse gagnera à apprendre à faire confiance aux autres.

Une personne susceptible gagnera à apprendre à lâcher prise sur le regard des autres.

Une personne nombriliste gagnera à apprendre à s'ouvrir aux autres.

Une personne pessimiste gagnera à apprendre à devenir optimiste.

Dans tous les cas, ce qui me semble évident, c'est que la première étape est de commencer par gagner en confiance en soi !

Développer sa confiance en soi, c'est forcément lâcher prise sur son égo, car c'est aussi accepter ses limites avec le sourire et donc ne pas être blessé lorsque nos limites deviennent apparentes.

Voilà.. je m'arrêterai là pour aujourd'hui, car ce sujet pourrait être débattu des heures encore !!

Qu'avez-vous ressenti en lisant cet article ??

Quelles pensées vous ont traversée l'esprit ??

Quelles émotions sont venues à vous ?? "


Le lien
http://blog.aujourdhui.com/cecileneuville/1868271/l-art-de-lacher-prise-sur-son-ego.html

C'était aussi pour Nanou en guise de clin d'oeil.

samedi 22 mai 2010

Lâcher prise

Nous parlions récemment avec M du lâcher prise. J'ai trouvé quelques définitions ici

"Lâcher Prise, ce n'est pas se montrer indifférent mais simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un d'autre.
Lâcher prise, ce n'est pas couper les liens mais prendre conscience qu'il ne doit pas y avoir contrôle d'autrui.
Lâcher prise, ce n'est pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un évènement.

Lâcher prise, c'est reconnaître ses limites, c'est à dire que le résultat final n'est pas entre nos mains.

Lâcher prise, ce n'est pas blâmer ou vouloir changer autrui, mais donner le meilleur de soi-même.

Lâcher prise, ce n'est pas prendre soin des autres mais se sentir concerne par eux.
Lâcher prise, ce n'est pas "assister" mais encourager.

Lâcher prise, ce n'est pas juger, mais accorder à autrui le droit d'Etre avec toutes ses imperfections comme champ d'expériences.

Lâcher prise, ce n'est pas s'occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin, source d'éveil.

Lâcher prise, ce n'est pas materner les autres, mais leur permettre d'affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n'est pas rejeter, c'est au contraire accepter.

Lâcher prise, ce n'est pas harceler, sermonner ou gronder mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s'en défaire.

Lâcher prise, ce n'est pas adapter les choses à ses propres désirs, mais prendre chaque jour comme il vient et l'apprécier sans oublier de s'aider soi-même.

Lâcher prise, ce n'est pas critiquer ou corriger autrui, mais s'efforcer de devenir ce que l'on rêve de devenir.

Lâcher prise, ce n'est pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l'avenir dans l'ici et maintenant.

Lâcher prise, c'est craindre de moins en moins pour aimer de plus en plus."




lundi 17 mai 2010

Quelques photos


Les anémones pulsatilla commencent à fleurir, j'aime ces fleurs, qui fleurissent au début du printemps.








J'aime aussi le lilas quand les grappes commencent à sortir.

samedi 1 mai 2010

Goutte d'eau




Merci à Christie : Alluvions de m'avoir remis en mémoire cette superbe chanson interprétée par Nicole Rieu à la voix si pure.



En partage donc, les gouttes libres de la pluie sur la photo et cette voix magnifique autant que le texte interprété.

mercredi 24 mars 2010

Le printemps s'installe

Je suis allée faire un tour dans le jardin. J'avais un peu plus de temps aujourd'hui.

J'ai des héllébores dans le jardin, normalement c'est censé fleurir à Noël. Chez nous, elles sont toujours en fleurs au mois de mars.
C'est joli.



La violette que l'on dit discrète s'est un peu étalée chez nous, il y en a des violettes, normales quoi, violettes, mais aussi des blanches.



Les violettes sont assez nombreuses, on ne peut plus les ignorer ...


Les anémones pulsatilla sont encore un peu frileuses, il faudra encore attendre un peu avant de voir l'épanouissement.
 Enfin, les primevères sont un peu partout, jaunes, blanches, mauves, rouges, elles mettent des touches de couleur toujours bienvenues, ainsi que les jonquilles, mais il commence à faire un peu chaud pour elles l'après-midi.

samedi 20 mars 2010

Printemps

Je me suis bien aperçue que depuis quelques jours il faisait bien moins froid dehors. Mais voilà, je ne sais pas ce qui se passe, j'ai à peine le temps d'être chez moi. Donc quand j'y suis, je prépare les repas, je lave, repasse, bref, même pas le temps de me connecter.

Ce n'est que ce soir que je prends quelques minutes pour vous dire que je ne vous oublie pas, mais que vraiment, en ce moment, le temps me manque pour alimenter ce blog, et me manque également pour aller faire une petite visite ici et , et et encore là.

Pour ces fleurs, il faudra encore attendre quelques jours, mais la nature est généreuse et une fois que la température le permet, c'est l'explosion des fleurs de printemps.

samedi 13 mars 2010

Adieu

Jean Ferrat est mort ce samedi matin.
C'est une bien triste nouvelle, qui m'affecte.

Chanteur poète, chanteur engagé, homme à coups de gueule, il va manquer à la France.

jeudi 11 mars 2010

Pas le temps

Désolée, mais en ce moment, je n'ai pas le temps de bloguer, à peine le temps d'aller rendre quelques visites ici et là.




Et pour un moment nostalgique et de plaisir



Décidément, je n'aime vraiment que les chansons qui ont une trentaine d'année, excepté pour Lynda Lemay, Bénabar, Cali, Calogero ... mais nous y reviendrons une prochaine fois

dimanche 7 mars 2010

Georges Chelon

Je me fais l'effet d'être un vieux croûton quand je mets des chansons en ligne qui sont d'hier, mais elles restent dans ma mémoire et quand je les cite sur ce blog, j'écoute à nouveau ces chansons que j'aime.



Voilà, j'aime beaucoup Georges Chelon.



Triste, mais si beau ce poème.


Il y a bien d'autres chansons de cet artiste que j'aime aussi, mais je ne peux pas tout mettre, alors dans le désordre :

Barrabas,
Nous on s'aime,
Evelyne,
Crève misère,
Morte saison,

Et encore

Prête-moi tes yeux
Soliloque (moins connue)
Rue des carrières "le nid d'amour".



mercredi 3 mars 2010

Le printemps pointe le bout de son nez




Quelques fleurs commencent à sortir et à nous dire que l'hiver se termine. Des touches de couleur ça et là dans le jardin nous avertissent que le printemps va venir, doucement et sûrement.



lundi 1 mars 2010

L'honnêteté


Lorsque je suis rentrée de vacances en début de semaine dernière, je suis allée sur le blog de Cib et j'ai trouvé ce billet :
Un joli conte chinois pour un moment de douceur.....

On raconte que vers l’an 250 avant J.-C. dans la Chine ancestrale, un prince de la région nord du pays, à la veille d’être couronné empereur devait, conformément à la loi, se marier.

Sachant cela, il a décidé de mettre à « l’épreuve » les donzelles de la cour ou toute personne qui se trouvait digne de cette proposition. Le lendemain, le prince a annoncé qu’il allait recevoir dans une célébration spéciale toutes les prétendantes et leur lancer un défi.

Une vieille dame, servante du palais depuis de nombreuses années, à l’écoute des commentaires sur les préparatifs, a senti une légère tristesse, car elle sait que sa jeune fille nourrit un sentiment de profond amour pour le prince.
A son arrivée à la maison et après avoir raconté la nouvelle à sa jeune fille, elle est stupéfaite d’apprendre qu’elle voulait aller à la cérémonie et a demandé, incrédule :
- Ma fille, que feras-tu là-bas ? Il s’agit de toutes les plus belles et plus riches filles de la cour. Ote de la tête cette idée stupide. Je sais que tu souffres beaucoup, mais que la souffrance ne devienne pas folie.
Et la jeune fille répond :
- Non, chère mère, je ne suis pas souffrante et encore moins démente. Je sais que je ne serai peut être pas choisie, mais j’aurai la chance d’être au moins quelques instants près du prince, ce qui me rend déjà très heureuse.
Le soir de la cérémonie, au palais, il y avait, donc, toutes les belles et riches filles, parées de fines étoffes de soie, des plus beaux bijoux et les plus déterminés intentions.
Puis, enfin, le prince annonça le défi :

- Je vais donner une graine à chacune de vous. Celle d’entre vous qui, dans un délai de six mois, m’apportera la plus belle fleur, sera alors choisie mon épouse et future impératrice de Chine.
La proposition du prince n’a pas failli à la profondeur des traditions du peuple, qui valorise beaucoup le savoir de « cultiver » quelque chose, que ce soit les traditions, l’amitié, etc. …

Le temps passe et la douce jeune fille, qui n’avait pas beaucoup d’aptitudes dans l’art du jardinage, s’occupe avec grande patience et tendresse de son semis. Puisqu’elle savait que si la beauté de la fleur se présentait avec la même profondeur que son amour, elle n’avait pas besoin de s’inquiéter du résultat.
Trois mois ont passé et la graine n’a toujours pas germé. La jeune fille a tout essayé, en utilisant toutes les méthodes qu’elle connaissait, mais rien n’a poussé. Jour après jour, elle concevait son rêve un peu plus lointain, mais son amour est de plus en plus profond.

Enfin, les six mois se sont écoulés et rien n’a poussé. Consciente de ses efforts et de son dévouement, la jeune fille annonce à sa mère que, indépendamment des circonstances, elle retournerait au palais. Puisqu’elle n’aspire à rien d’autre que quelques minutes de plus en compagnie du prince.
Et le moment venu, elle est là ; son pot vide, parmi toutes les autres prétendantes, chacune avec de fleurs, toutes plus belles les unes que les autres, de formes et de couleurs variées.

Elle était contemplative, jamais elle n’avait vu de si belle scène. Arrive le moment tant attendu, et le prince considère chacune des prétendantes avec beaucoup de soin et d’attention.
Après être passé devant toutes, une par une, il annonce le résultat et montre sa belle et future épouse.

Les convives ont été offusqués du choix du prince. Personne n’a compris pourquoi il avait choisi celle qui n’avait rien « cultivé ».
- Alors, le prince explique calmement :

- Celle-ci a été la seule à « cultiver » la fleur qui la rend digne de devenir impératrice. La fleur de l’honnêteté, parce que toutes les graines qui ont été distribuées étaient stériles. « L’honnêteté est comme une fleur faite de fils de lumière, qui illumine qui la cultive et répand autour la lumière. »


Il n'est pas toujours facile d'être honnête, la vie nous incite bien souvent à modifier la vérité. Et pourtant, nous tirons bien plus de joies à être honnête que de maquiller une vérité peu plaisante.

mercredi 24 février 2010

Belle voix

J'aime particulièrement Isabelle Aubret.
Je sais, elle n'est pas particulièrement au Top du moment, mais peu importe.

Ecoutez cette chanson, émouvante, réaliste





J'aime aussi "La Fanette" interprétée par Isabelle Aubret.



Evidemment ce ne sont pas vraiment des chansons dans l'air du temps.

Mais le grand Jacques savait écrire et interpréter.

Voici la Fanette par son créateur



La vidéo n'est pas bien jolie, et le son n'est pas en concordance avec le chanteur. Dommage.
Fermez les yeux et écoutez, ça ira mieux :-D

lundi 8 février 2010

Pause

Blog en pause pour un temps indéterminé.

L'Art est beau quand la main, la tête et le coeur travaillent ensemble.
John Ruskin

 

mardi 2 février 2010

5 cm

Ca y est, la neige est encore tombée.
A peu près 5 cm d'épaisseur au réveil, ça réchauffe quand on l'enlève !

 

Et voilà, même photo car même couche de neige qu'il y a un mois.

lundi 1 février 2010

Diaporama



Sans commentaire, tout est dit, si ce n'est que dans notre quotidien, on s'en éloigne souvent, par manque d'attention, par manque de temps ; parce que la vie nous fait prendre des chemins de traverse et qu'on oublie l'important.

samedi 30 janvier 2010

Au-delà de l 'hiver

Aujourd'hui, la migraine m'assaille à nouveau, mais tant pis.
Je ne peux pas chanter, et puis ce ne serait pas forcément bien joli, d'autres le font bien mieux que moi.

J'aime beaucoup ces deux chansons.



Dans un autre style, 



Nous oublions trop souvent, que la vie c'est ICI  ET  MAINTENANT.

Le diaporama est superbe, j'espère que comme moi, vous l'apprécierez.

mercredi 27 janvier 2010

Un peu d'humour

J'ai reçu ce matin de la part d'une amie une photocopie qui m'a bien fait sourire.

Je vous donne le texte :

"ANNEES FOLLES"
"T'as grandi au cours des années 40-50-60, comment t'as pu survivre ?
Les autos n'avaient ni ceinture de sécurité, ni appuie-tête, ni airbag. Sur le siège arrière, on se marrait et ce n'était pas dangereux.
Les lits à barreaux et les jouets étaient multicolores ou au minimum peints avec des laques douteuses contenant du plomb ou autres poisons.
Il n'y avait pas de sécurité enfants sur les portières de voitures, ni sur les prises de courant, encore moins sur les médicaments ou autres nettoyants chimiques domestiques. 
Il n'y avait pas de casque pour faire du vélo/ 
On buvait à même le tuyau d'arrosage et pas des eaux minérales en bouteilles stériles.
On construisait des caisses à savon, et ceux qui avaient la chance d'habiter pas loin d'une route en pente pouvaient tenter d'établir des records de vitesse, et même constater à mi-chemin, qu'on avait économisé sur les freins ... après quelques accidents, ces petits problèmes étaient résolus.
On osait aller jouer ... Fallait juste rentrer à la maison avant la nuit.
Il n'y avait pas de portables ... et personne ne savait où l'on traînait. Incroyable ...
Nous avions école jusqu'à midi, et l'on rentrait manger à la maison à pieds.
Erraflures, bras cassés, dents brisées, coudes écorchés ... Personne ne se serait plaint. Personne n'avait tort, si ce n'est nous-mêmes.
On avalait des sucreries, du pain beurré, et on ne parlait pas d'obésité. Nous jouions toujours dehors, et étions actifs !
On se partageait à quatre une limonade au goulot, et nul n'a jamais eu le SIDA;
Pas de play-station, Nintendo 64, box, jeux vidéo, câble haut débit, enregistreur vidéo, Dolby surround, portable, ordinateur, "chats" sur internet ... seulement des copains.
A pieds ou en vélo, on allait chez les copains même s'ils habitaient à des kilomètres On entrait sans frapper et on allait faire les c...
Si, si :! Dehors, dans ce monde gris ... et tout ça sans surveillance. Pas possible !
On jouait au foot avec une seule cage, et si l'on perdait, pas de frustrations, ni de "fin du monde".
Il y avait des élèves un peu "retardés" qui redoublaient. Bah ... Personne n'allait chez le psychologue ou la psychopédagogue.
On ne parlait pas de dyslexie, ni d'hyperactifs "THADA", ni de problèmes de concentration.
On redoublait simplement l'année, et chacun avait sa chance.


Nous avions : libertés, revers, succès, devoirs ... et l'on apprenait à faire avec.


La seule question est  :
Comment avons-nous fait pour survivre ? et de plus, comment avons-nous fait pour développer notre personnalité ?


Es-tu toi aussi de cette génération ? 
Si oui, fais lire ce texte à tes amis contemporains, à tes enfants et leurs cousins, afin que tous sachent comment c'était de notre temps...
Ils répondront peut-être que l'on devait drôlement s'ennuyer à cette époque... Pourtant qu'est-ce qu'on a comme bons souvenirs, hein ? !!! ..."
Lecteur anonyme

vendredi 22 janvier 2010

Espoir

Pour passer une fin de semaine agréable, pas inutile de se poser un moment sur ce message.
Je suis allée sur Facebook aujourd'hui, j'ai vu ce texte et je l'ai retrouvé sur le blog de M

C'est aussi puissant que cette rose de Dali

"Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse. L’OMB (Organisation Mondiale du Bien-Etre) prévoit que des milliards d’individus seront contaminés dans les dix ans à venir.

Voici les symptômes de cette terrible maladie :

- Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d’agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.

- Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.

- Perte complète de la capacité à se faire du souci.

- Plaisir constant à apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne la disparition de l’habitude de vouloir changer les autres.

- Désir intense de se transformer soi-même pour gérer positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie matérielle et son environnement afin de développer sans cesse ses potentiels de santé, de créativité et d’amour.

- Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit « merci » et donne un sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit.

- Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.

- Moments de plus en plus fréquents de communication consciente avec son âme non-duelle pour tout simplement "être", ce qui donne un sentiment très agréable de plénitude
et de bonheur.

- Plaisir de se comporter en guérisseur qui apporte joie et lumière plutôt qu’en critique ou en indifférent

- Capacité à vivre seul, en couple, en famille et en société dans la fluidité et l’égalité, sans jouer ni les victimes, ni les bourreaux, ni les sauveurs.

- Sentiment de se sentir responsable et heureux d’offrir au monde ses rêves d’un futur abondant, harmonieux et pacifique.

- Acceptation totale de sa présence sur terre et volonté de choisir à chaque instant, le beau, le bon, le vrai et le vivant.

Si vous préférez continuer à vivre dans la peur, la dépendance, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes. Cette maladie est extrêmement contagieuse !

Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible.

Les traitements médicaux peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes mais ne peuvent s’opposer à la progression inéluctable du mal.

Aucun vaccin anti-bonheur n’existe.

Comme cette maladie du bonheur provoque une perte de la peur de mourir, qui est l’un des piliers centraux des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux risquent de se produire, tels des grèves de l’esprit belliqueux et du besoin d’avoir raison, des cercles de partage et de guérison et des rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie."

Texte repéré sur le Facebook de Véronique

Tag

Nicolas m'a tagguée sur un sujet politique.

Oui mais voilà, sur ce blog, c'est plutôt, photos, musique, et de temps en temps une réflexion plus politique quand ça déborde.

Alors si ma réponse à la question sur la démocratie directe vous intéresse, il faut aller ici.

jeudi 21 janvier 2010

 Pas envie d'écrire en ce moment,
Alors si vous passez par là, quelques images et musique qui font du bien.

Regardez et écoutez simplement.


lundi 18 janvier 2010

Bien commencer


Pour bien commencer la semaine, j'aime cette chanson de Bénabar.

Elle me fait sourire chaque fois que je l'écoute.

Alors, pour un petit moment de détente souriante.

dimanche 17 janvier 2010

Fatigue

Quelques soucis pendant les jours précédents font que cette fin de semaine n'a guère été reposante car les soucis ne s'en vont pas avec une porte qui se referme. Ce week-end n'a donc pas été des plus sereins.
Quand en plus vient s'ajouter à cela une émotion très proche de la peur, ça vient mettre une couche supplémentaire de stress.

En fait chez moi, la peur est rétrospective car quand il s'agit de personnes, j'agis d'abord !

C'est après que ça se gâte quand je me mets à réfléchir !

Reste juste à espérer que la nuit à venir sera réparatrice.

C'est dans de telles journées que l'hiver me paraît long.
Et,  ... il y a encore deux mois à tenir !
Mais l'hiver nous offre des spectacles étonnants de beauté comme sur la photo ci-dessus, alors on va profiter de ces moments et continuer.

samedi 16 janvier 2010

La vie


Il y a des jours où rien ne va, dès le matin, quand on met le pied par terre, c'est comme si on le mettait à côté de nos chaussures, et ça dure la journée au moins.
On a tous vécu des journées pareilles. Ce sont des jours où les anges nous oublient :)

Il y a d'autres jours, où la tristesse ou l'angoisse nous assaillent sans qu'on sache bien pourquoi.

Pour échapper à ces moments de nostalgie profonde,  rappelons nous ces mots :

"La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie"
André (Georges) Malraux

Tout est dit dans ces quelques mots ou presque.

Il y a une façon de vivre pleinement chaque instant. Il faut être concentré au moment présent ; ici et maintenant, à savoir que lorsque l'on fait des tâches ménagères ou autres, il ne faut pas penser à autre chose, et si notre esprit vagabonde, il faut le ramener doucement mais sûrement sur le moment présent.

C'est une façon simple de se détacher des soucis. 

Se concentrer sur l'action présente.

Ce petit billet est rédigé pour deux ou trois personnes dont je visite les blogs régulièrement et qui ont l'une du vague à l'âme, l'autre beaucoup de peine. Le printemps va bientôt revenir, ne l'oublions pas.

mercredi 13 janvier 2010

Dégel



J'ai été très contente de prendre la photo du magnolia enneigé la nuit.

Mais je suis encore plus contente de voir des pattes d'oiseau dans la neige qui s'en va peu à peu.

La neige, ça va, mais un tout petit peu.

Ca fait dix jours que je vois du blanc partout, et j'en ai déjà assez.
Je ne pourrai vraiment pas vivre à la montagne.

Je n'aime pas la neige.

lundi 11 janvier 2010

Illustration



J'ai posté un commentaire sur le blog de France en indiquant que lorsqu'on enlève la neige qui n'a pas été tassée, il ne reste plus rien après.

J'illustre donc par une petite photo.

Il suffit d'une pelle et d'un peu d'huile de coude.
Même pas besoin de se couvrir beaucoup, car au bout de 5 mn, vous ne sentez plus le froid.

Et pourtant, ce n'est pas ce qui manque la neige.

Près de 30 cm en région lyonnaise, ce n'est pas courant.

Il ne viendra plus

Mano Solo était un véritable artiste poète chanteur.

Il dérangeait certains avec ses textes décapants.

Mais il ne viendra plus déranger les bien-pensants.

dimanche 10 janvier 2010

Pauvre romarin


Là, il n'en peut plus sous le poids de la neige. Il commence à se casser.

Il faut dire que la neige est tombée à nouveau cette nuit et là le romarin me signale qu'il ne faut pas qu'il en retombe à nouveau sinon il se casse complètement.

Je ne sais pas s'il a un quelconque pouvoir sur les chutes de neige.

C'est beau et inhabituel.

Les branches des arbres souffrent sous le poids de la neige.

Les photos ne sont pas en noir et blanc, elles sont censées être en couleur.

On ne le dirait pas !

samedi 9 janvier 2010

Neige toujours ...


Si ça continue ainsi, la couche va commencer à être épaisse.

Il a neigé lundi et tout est resté.

Il neige depuis hier et la neige monte doucement mais sûrement.

A Lyon même, certains accès à la Croix-Rousse sont interdits ainsi que la montée St Barthélémy dans le 5ème arrondissement.

Les bus sont retournés au dépôt.

Bref, c'est l'hiver.

Si ça continue ainsi, les routes seront trop mauvaises pour reprendre le chemin des études ,pour ma fille, lundi. Ce n'est pas elle qui va s'en plaindre. Elle aime ce qu'elle fait mais c'est trop long à son goût, bien trop long ...
Si elle pouvait faire le programme en 3 mois au lieu de 10, ça lui irait très bien.

Les graminées vont finir par être complètement recouvertes si ça continue ainsi.















et le romarin me dit qu'il n'aime pas ce temps-là ! Comme il y a du vent, il arrive un peu à se débarrasser de ce poids lourd, mais il commence à en avoir assez quand même.

mardi 5 janvier 2010

Délicatesse

J'ai reçu ces derniers jours, des voeux qui m'ont particulièrement touchée, parce que réellement très beaux.

Je vous les donne à lire

"Cheminer vers soi,

Pour cheminer vers l'autre,

Pour cheminer ensemble.


Pour nos vœux et l'amitié"


J'ai trouvé cette formulation très délicate et très profonde.

Voilà, peut-être qu'avec quelques uns ou unes d'entre vous, nous cheminerons ensemble, au moins pendant un temps.


lundi 4 janvier 2010

Il neige


Il a neigé en région lyonnaise. Les lyonnais sont assez peu habitués à une neige abondante. Il en est tombé quand même pas mal dans la nuit de dimanche à lundi.
D'ailleurs, la météo n'en annonçait pas ce soir, mais le ciel en a décidé autrement.

Voici une photo prise ce matin quand le jour commençait à poindre.

Une autre, montrant une graminée qui essaye avec bien du mal de sortir ses tiges de la neige.

Et une troisième pour le plaisir de voir un sapin enneigé.

dimanche 3 janvier 2010

Continuons

Connaissez-vous Jean Roger Caussimon ?

Sa chanson la plus connue : "Comme à Ostende" mise en musique et chantée la plupart du temps par Léo Ferré.

J'aime beaucoup "Les coeurs purs" et bien d'autres chansons de cet auteur-compositeur.


samedi 2 janvier 2010

Autre genre

Puisque je ne trouve pas la chanson dont France a mis si gentiment le texte en commentaire, je vous propose un tout autre genre, un peu décalé, mais que j'aime aussi et qui aide à garder le sourire.

Vous excuserez mes goûts un peu, beaucoup, éclectiques.

vendredi 1 janvier 2010

Un peu d'aide ...

Ah voilà, aujourd'hui, premier jour de l'année, je voulais mettre en ligne les chansons que je préfère, qui sont plutôt des poèmes mis en musique d'ailleurs.

Mais, je ne sais pas faire !

Je sais faire, pas depuis longtemps, sur over-blog, mais sur cette plate-forme ...

Dommage, vous n'entendrez pas Jean Ferrat ou Léo Ferré chanter Aragon.

Ce sont toujours des moments de grand plaisir, pour moi, que je voulais partager.

Pffttt, ce sera pour une autre fois...

Peut-être.
..